Page 9 - Epitome du mort et du Vif
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Tu courbes le dos
                sous la bouche
                fardée d’un bouquet
                d’étrilles
                De la ramure
                tu ne retiens que
                le fruit fané
                sans mémoire
                des galops
                de gloire antérieurs























                                Le monde s’ouvre sous ses doigts tandis
                                     quelle passe au-dessus des nuages





                                                              io
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