J'y serai dimanche 10 décembre sur invitation de mon éditrice Wanda Mihulac. En lecture "Soliloque pour ELLES" sur le stand A9 - Transignum, Dimanche 10 décembre de 14h45 à 15h " |
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Anne-Lise Blanchard et les éditions Transignum, en compagnie de Dominique Deboffle et Costin Petry, vous accueilleront mercredi 7 juin à 19h pour la signature de "Soliloque pour Elles". Un apéritif suivra
place Saint-Sulpice Paris 6e vendredi 9 juillet de 19hà 20h pour une vente signature de "Une odeur d'enfance". |
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Traduzionetradizione - Juin 2022 | |
Anne-Lise Blanchard, poetessa. Tra gli ultimi libri pubblicati: Épitomé du mort et du vif, Jacques André éd., 2019, L'Horizon patient, Ad Solem, 2022, ecc. Tradotta in questa edizione da Francesco Zevio. Francesco Zevio: raccolta di versi Suite dei mondi, Robin Edizioni, 2019, il libro Latino in cinque minuti, Gribaudo, 2019. Cofondatore della compagnia di poesia, pantomima e musica "Mime en Mi Mineur'_' attiva in tutta Europa. Silvio Aman, poeta, saggista (monografia Robert W7ttlse1; Il culto dell'eterna giovinezza), traduzioni di Hermann Hesse, Christine Koschel, Anna de Noailles, ecc. Sue poesie sono tradotte da Alberto Panaro, professore di letteratura francese. David Greenslade, poeta britannico del Galles, artista surrealista, film-maker, ha visione ampia delle arti data da esperienze in diversi paesi e continenti. Poesie con traduzione italiana di Claudia Azzola. Angelo Gaccione, scrittore, drammaturgo, poeta, dirige da due decenni il giornale online Odissea, tra arti e vita civile. Libri di racconti, fiabe, aforismi. Per il suo impegno civile gli è stato conferito il Premio alla Virtù Civica. Alessandro Agostinelli, scrittore, poeta, storico delle arti visive; dirige la collana 'Poesia' di Edizioni ETS Pisa. Tra le raccolte poetiche: Numeri e Parole, Agosto e Temporali, 2000, Poesie della linea orange, 2008, in Spagna En el rojo del Occidente, 2014. Antonio Staude, traduttore di saggiscica e poesia tra il tedesco e l'italiano, au tore di saggi sulla cultura letteraria e teatrale. Collabora all'ufficio editoriale del festival belcantistico 'Rossini in Wildbad'. Franca Mancinelli, tra le numerose raccolte poetiche annovera una silloge di suoi testi compresa in Nuovi poeti italiani, Einaudi, 2012; con traduzione inglese di John Taylor sono uscite sue raccolte presso editori italiani e europei. John Taylor, poeta e prosatore con arnpia pubblicazione europea. Come traduttore è uno dei ponti tra l'Europa continentale e le nazioni anglofone, per le versioni di poeti francesi, svizzeri, greci e italiani. |
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Articles parus dans la revue TRAVERSÉES 101 - 2022 II | |
Je suis partie reconnaître champs et chemins parcourus dans l'enfance puis jeune mère les lavoirs se sont tus la trace du chemin de fer ne relève pas encore du vestige archéologique l'odeur de mazout a effacé la fragrance de lait cru les granges se sont fleuries modernes auberges de la ruralité la distance de maison à maison s'est comblée on ne sait si c'est le village qui s'étend ou la ville qui débarque oh l'inattendu mélange d'odeurs animales et de végétal pourri bruisse aux narines d'un temps révoqué flammèche à laquelle je m'agrippe comme à continent en dérive |
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Le geste du poème posé dans son authenticité, il reste au lecteur à accomplir une expérience à sa mesure avec le poème qui s'offre à lui comme un corps sensible, le corps de la langue mis en partage. Mais il arrive qu'il se heurte à la résistance de l'écrit, faisant de l'expérience un corps à corps avec le texte lorsque le poème dans ses formes contemporaines met le sens en suspens jusqu'à en ruiner la possibilité, pointant une sorte d'inaccessible. La lisibilité mise en question est devenue un trait du poème qui confronte le lecteur à un manque à l'œuvre dans l'écriture dont se nourrit la quête d'un impossible. Il s'agit néanmoins pour le poète dans la précarité de sa posture de rejoindre l'autre et le monde dans leur contingence, de permettre par la lecture la possibilité d'une réception, celle dont chacun se fera l'initiateur. Au-delà du poème demeure l'enjeu de la parole vive, celle qui monte aux lèvres et révèle notre rapport singulier au langage, toujours incomparable. Écrire de la poésie aujourd'hui, comme nous le fait comprendre Anne-Lise Blanchard, c'est engager sa vie dans la conduite des mots, risquer le pas et tenter de franchir la crête où le réel se dessine et voit le jour venir. Dans cette avancée vitale, comme à portée de main, le poème veille. Il est d'abord exigence de dire, d'atteindre cette pointe de silence où se réserve la voix qui « cherche I dans le pli de I la vague la source I du sens Il Dans la secousse Ide la lumière I lisse I l'arrondi de la I crête ». Éphémère dans sa prise de parole qui nous laisse en chemin, jusqu'à saisir l'infime écho du sens qui le traverse, le poème creuse la circonstance unique qui l'a vu naître. Si l'on dit encore que la poésie cherche ses lecteurs, si peu nombreux à lire les livres qui paraissent, c'est qu'à son corps défendant elle est une mise à l'épreuve tant du lecteur que de la langue qu'il croit parler, quand la question posée est celle de rendre à la parole sa vigueur native. Messager de son époque, |
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le poète s'il en est, prend délibérément le chemin de l'altérité sans savoir toutefois où il mène, s'adressant à cet autre inconnu, lecteur de rencontre ou véritable interlocuteur, mais qui s'en tient le plus souvent à un usage convenu de la langue. Ainsi le lisible dans son immédiateté apparaît-il comme le défaut de la poésie face au roman et à son expansion, mais sans doute est-ce sur ce défaut qu'il s'agit de« rémunérer» que s'appuie la périlleuse avancée de l'écriture vers le poème, toujours provisoire. Comme une manière d'accéder à ce qui nous échappe, entre l'attirance des mots et l'appel du vide, c'est cette hésitation du sens qui permet, à la mesure de chacun, à travers le caractère solitaire du poème, de poser un doigt sur le réel : « Le sol forme le pas. Le pas forme le mot. » Quand un poète, chacun pourra le vérifier en ouvrant le livre d'Anne-Lise Blanchard, notamment dans sa deuxième partie intitulée« Glaise», prend le risque de dire, par son adresse nous est confié le viatique précieux de sa liberté de parole : « Le mot glisse dans la gorge le pied glisse dans la glaise. Franchir le pas. Obstruction de la frontière. Le pas ne parvient pas. A franchir 57 la frontière des lèvres. S'enflammerait au contact de l'air. Ainsi l'embrasement de la peau au tranchant de l'air. Le pied glisse dans la glaise le mot glisse dans la gorge 11 Reflue. Vers l'obscur. » Sans doute, s'agit-il de s'en imprégner, la poésie tenant dans ses origines les plus lointaines au chant du par cœur, à ce plaisir sans préjugés d'une soudaine venue au monde, avec ce« pas gagné » qui nous laisse néanmoins sur le qui-vive, tant l'accord que nous y plaçons peut faire que s'éveille et s'ébruite dans la langue notre lien au réel, jusque dans ses plis et ses déchirures. De fait, la langue est notre seul port d'attache et il s'agit bien comme l'écrit Jacques Dupin en traversant le lieu-dit du poème, d'apprendre à parler de sa propre voix, une recherche de« l'être dans le monde, et de l'autre dans la langue ». |
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Derrière son aspect formel et au-delà, la poésie d'Anne-Lise Blanchard est lecture sensuelle du monde, fusion de sensations à fleur de peau et de couleurs charnelles qui mènent à l'intime rencontre des corps. Cheminement au cœur des choses et pourtant en équilibre sur la lisière, évolution des mots mis bord à bord dans l'explosion inattendue des contraires et de leur dépassement. L'euphorique euphorbe du début du recueil, tout en froissement de fricatives, s'effrite jusqu'à la douleur, jusqu'aux larmes et jusqu'à la fissure de l'irréconciliable. Anonyme euphorbe est bien l'évocation discrète de cet « obscur objet du désir » nimbé d'éros qui taraude l'âme. Jusqu'à I'« aporie des corps », leur logique insoluble. « Une nuit minérale I dérobe tes mains quand en esthète tu I contemples la face cachée de son petit exquis I ourlé de lymphe Il l'appel secret de ses lèvres » De ces instants captés sur le vif du désir, que reste-t-il ? Restent le vide et le silence. Reste soudain l'impossibilité à dire. L'interruption : « Aucune trace aucune parce que c'est» Ou encore: « Corps imprononçables /juste déborder de / du débord / de sa vie » Les poèmes d'Anne-Lise Blanchard sont éclats. Éclats visuels d'instants de vie d'observations de perceptions fugaces d'images de couleurs et d'oublis, miettes de réel que retient, entre les mots, le poème. Espaces silences et blancs. Neige. |
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Il arrive parfois que les poèmes, rythmés par la récurrence des allitérations se chargent aussi d'une pesanteur annoncée par l'afflux des nasales. Un perpétuel mouvement vers des points qui s'opposent, confère alors au poème son extrême tension, comme dans ce poème d'Éclats: « Fenêtre un matin ouverte / sur les palmiers / pantelant / d'une exceptionnelle / neige // Leur voilure / volatilisée / déplacement vers // l'humaine pesanteur » Il arrive cependant aussi, que lumineux, empli de promesse généreuse, le poème se fasse offrande inattendue dans la beauté ~-e ce qui survient et se saisit : « Vignes devenues rizières Il À contresens du rail I l'un derrière l'autre / ils allaient libres I rassemblés I dans leur beauté blonde // offrande du jour / ce couple de chevaux » La vie, la mort, l'amour et le désamour, la joie l'espérance et le désespoir, tout cela qui traverse une existence et la mène, Anne-Lise Blanchard l'exprime aussi dans le recueil admirable de !'Épitomé du mort et du vif. Un abrégé à deux voix, l'une majeure - le poème - l'autre ténue - en bas de page et en italiques. Brièveté et condensé d'éclats, pépites d'images, d'injonctions et de désirs, d'associations de sensations et de correspondances, nourrissent les poèmes, souvent proches du haïku par la forme et du verset biblique par l'esprit. Le poème est duel, où se livre une lutte sans merci entre les forces contraires. Entre le vivant et le mort. La voix de la poète en révolte s'élève contre la fureur des hommes; son regard souffre, mis à mal par une lucidité douloureuse ; elle oppose au présent abreuvé de sang un conditionnel construit sur un amour antérieur aux origines ; elle aspire à une forme de dépouillement. « Ne porter qu'un diadème de branches /et s'en aller brouter le vent. » |
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avant de charger à leur tour ceux qui fuyaient à pied, véhicule qu'il dut à son tour abandonner bientôt; les manuscrits [] furent alors répartis au hasard entre tous ceux qui voulaient bien se charger de ces boîtes en carton devenues leur bien le plus précieux. Devançant les visées des jihadistes, il avait auparavant extrait les manuscrits du couvent dominicain de Mossoul, le fameux centre de la chrétienté orientale qui a formé tant de prêtres, que l'État islamique, dès son entrée dans la ville, a transformé en prison et centre de torture. » JP - Dans un livre précédent portant sur le même sujet : Le soleil s'est réfugié dans les cailloux 1, vous aviez choisi 2 types d'écriture. Sur les pages de gauche sont inscrits « des témoignages de vive voix» que vous avez recueillis. Sur les pages de droite figurent des poèmes. Pourquoi ces choix ? A-LB - Les poèmes évoquent des rencontres, des lieux, des événements. La page de gauche cite, en miroir du poème, soit des témoignages directs soit des inscriptions murales. Si le poème peut nommer le réel, il n'en est pas moins une métamorphose. Le réel fait irruption dans sa nudité crue, sa violence, sa cruauté qui impactent forcément le mode de vie, les relations interpersonnelles, quand il ne dévoile pas un projet d'éradication. Et pourtant la vie continue, dans son alternance d'horreur et de beauté. En notre qualité de vivants nous sommes condamnés à vivre. Cependant pour les chrétiens, la fidélité à ce qu'ils sont, l'espérance du salut, les disposent à acquiescer entièrement, dans la joie et le souci du pardon, à cette vie terrestre. JP - Quelques extraits évoquant à la fois l'horreur de la guerre, le désespoir, mais néanmoins des moments de grâce : 1- Anne-Lise Blanchard, Le soleil s'est réfugié dans les cailloux, Ad Solem, 2017. Présentation de l'auteur par Béatrice Marchal au café François Coppée et article de Guy Chaty, Poésie première N°72 |
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A-LB - « L'État islamique a emmené mon papa et je ne sais pas où il est » Le rebond d'un ballon à Qafroun et c'est l'été recommencé (comme on le voudrait} qui élargit les cœurs d'enfants à la proche forêt au ciel jusqu'à eux descendu dans sa miséricorde avant qu'ils ne retournent à l'enfer d'Alep Qafroun, août 2015 « Quoi qu'il arrive on restera là » Surgis du sable des villages couleur sable à l'unisson d'un bleu brûlant bruissant de la naissance du monde et cette heure qui vient se tait tout à l'écoute du jeune garçon debout face à sa blessure dans le brasier de la steppe Sadad, juin 2016 |
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Et le pied déchiffre, le pied chante, le pied médite, nous nous retrouvons pleinement humain, de passage, sur un support qui est permanent (ne parle-t-on pas de la mémoire des lieux?) Marcher-contempler, marcher-danser, marcher-écrire ... Nos massifs des Alpes sont bien éloignés du Haut-Atlas. Les Alpes comme le Haut-Atlas s'inscrivent dans un temps long, c'est le socle dont nous avons besoin. Mais ce sont bien les Alpes qui sont présentes dans mon dernier livre : Le silence est aride/ et ton pas léger/ qui libère le sens/ du monde1 JP-Encore deux poèmes extraits de L'Horizon patient: La lumière vibre dans le brasier de la neige annulant toute discorde d'où jaillit joie sauvage l'accordement des corps * Cette lente montée vers le col où tournoyaient des volutes de givre appelait le chant silencieux d'odyssées dont nous étions les acteurs Solitude souveraine dans l'heure pure
1 - Anne-Lise Blanchard, L'Horizon patient, Ad Solem, 2022 |
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JP - Bachelard nous incite dans La poétique de l'espace, à la joie d'habiter l'instant, le monde et aussi de rêver à un ailleurs pour nous libérer de la spatialité ordinaire. Qu'en pensez-vous? A-LB - Qu'est-ce que la vie ? C'est l'éclat d'une luciole dans la nuit. C'est le souffle d'un bison en hiver. C'est la petite ombre qui court dans l'herbe et se perd au coucher du soleil. Crowfoot, chef blackfeet Plus qu'habiter l'instant, qui fait appel à deux référents, l'un spatial, l'autre temporel, je serais plus adepte de faire corps avec l'instant, pour réaliser une unité dans une perception de l'immédiat, avant toute mentalisation de notre rapport au monde. Sans doute ma pratique du haïku comme mon activité professionnelle d'eutoniste et sophrologue ne sont-elles pas étrangères à cette approche. Il me semble que c'est la voie la plus fidèle vers une compréhension de la réalité, sans jugement, et partant, son acceptation. JP- Plusieurs recueils de haikus viennent mettre au jour votre corps à corps avec l'instant, avec l'univers, votre extrême attention à tout ce qui vit, bouge mais aussi disparaît. Vos copeaux de langue éveillent nos sens et nos consciences, dans un émerveillement du flux de la vie, même si ne sont pas gommés le vide et le noir des gouffres. Comment sont venus les premiers et les derniers haikus? Quel est leur cheminement ? Leurs éventuelles transformations dans le temps? |
Jeudi 09 juin 2022
Samedi 11 juin 2022
2 et 3 avril 2022 Printemps des poètes à Saint Geoire en Valdaine
Mardi 14 Décembre, à la Mémo d'Oullins, place Hélène Carrère d'Encausse
LIVRES à VOUS Du 18 au 21 novembre 2021
Danseuse, chorégraphe, puis thérapeute et conférencière, Anne-Lise Blanchard aime à parcourir les Alpes, un espace qui traverse son écriture. Elle réside depuis peu dans le Voironnais. Longtemps collaboratrice critique de plusieurs revues de création littéraire et artistique (Verso, IHV, Lieux d’Etre, Diérèse, Mag’Ada), elle est publiée dans de nombreuses revues. Elle est également l’autrice d’une trentaine de livres – poèmes, haïkus, récits - et l’initiatrice des Navigations poétiques et du Festival poétique de Saint-Geoire-en-Valdaine.
Le Ravissement de la marche (haïkus), Atelier du Grand tétras, 2021
Syrie, les femmes parlent (entretiens), Investig’Actions, 2021
Carnet de route de l’Oronte à l’Euphrate, 2020
Ce carnet de route retrace une année de pérégrination (août 2017-août 2018) au Proche-Orient à la rencontre de sa mosaïque de peuples, leurs difficultés, leurs espoirs, leur volonté de vivre malgré les guerres qui se succèdent, une année à la découverte d’un patrimoine qu’ils veulent préserver. Un témoignage de la douceur de vivre de ces populations, côtoyant la folie destructrice du terrorisme islamiste.
Chers amis,
La Maison de la Poésie Rhône-Alpes invite au Mardi de la poésie du 17 septembre prochain, de
19h30 à 21h Anne-Lise Blanchard et Alain Wexler, qui croiseront leurs voix et
leurs poèmes.
Maison de la Poésie 33 avenue Ambroise Croizat
38400 Saint Martin d’Hères.
La lecture sera suivie d’un échange avec le public, d’une séance de dédicaces et du pot de l’amitié.
A bientôt pour ce mardi de rentrée !
Big Band des poètes
« Marché de la Poésie 2019 »
C’était le 11 avril 2019, à la Galerie Rêves d’Afrique à Saint-Etienne, avec Xavier Lassablière
Nous aurons la joie de recevoir Anne-Lise Blanchard
à l’occasion de la parution de ses derniers textes .
VENDREDI 15 MARS 2019 à 15h30
Lieu de l’événement:
LE TERRITOIRE DU POEME
BRASSERIE « LE FRANÇOIS COPPÉE » (1er étage)
1, Boulevard du Montparnasse
75006 Paris
M° Duroc
Textes présentés:
ÉPITOMÉ DU MORT ET DU VIF
suivi de GLAISE Jacques André éditeur
Les jours suffisent à son émerveillement éditions unicité.
Le soleil s’est réfugié dans les cailloux Ad Solem Poésie
Voici le lien de la radio couleurs fm qui m’a invitée à parler de mes derniers livres : « Les jours suffisent à son émerveillement » publié par les éditions Unicité et « Le soleil s’est réfugié dans les cailloux » publié par Ad Solem. J’évoque également mon prochain livre « Epitomé du mort et du vif », inspiré de ma correspondance avec le poète Jeanpyer Poels, qui paraîtra chez Jacques André Editeur au mois de mars.
https://www.couleursfm.com/libre-cours/
Janvier 2019 : Dimanche 6 à 10h00, Mercredi 9 à 20h00, Lundi 14 à 20h00, Mardi 22 à 16h00
Carte-blanche Anne Lise Blanchard le soleil s’est refugié dans les cailloux
Hier, c’était journée dédicace pour mon livre « le soleil s’est réfugié dans les cailloux ».
L’événement s’est déroulé à Saint-Etienne, Librairie de Paris, 6 rue Michel Rondet, à 16 h avec un entretien pour RCF.
Evènement poétique à Milan
Mercredi 31 octobre 2018 à 17h30
Jeudi 18 octobre à 21h
Association Lacanienne Internationale (ALI)
60, rue des Rancy 69003 Lyon
Remise du Prix à Valérie Kanor samedi 29 septembre au Procope, en compagnie de Papa Samba Diop, Président du jury, et de Valérie Kanor, lauréate du Prix Ethiophile.
Samedi 29 septembre à 15h, au Procope, je préside la remise du Prix Ethiophile 2018 à Véronique Kanor pour son très beau livre Combien de solitudes …, publié par Présence Africaine. »
Le lauréat a été désigné le 9 juin 2018 parmi les œuvres poétiques suivantes :
Furigraphie de Hawad chez Gallimard
Combien de Solitudes de Véronique Kanor chez Pensée africaine
En passant par Tombouctou de Chekib Abdessalam chez Alfabarre
Gestuaire de Sylvie Kandé chez Gallimard
Le Bureau du Jury du Prix Ethiophile-Lilyan Kesteloot 2018 vous font part de la cérémonie de remise du Prix littéraire Ethiophile, 4ème édition, décerné à Véronique KANOR pour son recueil de poésie Combien de solitudes (Présence africaine, 2013)
au Restaurant Procope, 13 Rue de l’Ancienne Comédie, 75006 Paris,
le samedi 29 septembre 2018, à 15h.
Séance signature au marché de la Poésie ce samedi 9 juin 2018
Marché de la Poésie 2018, Paris, place Saint-Sulpice : je vous attends au stand 607 (Unicité ) pour vous présenter mon dernier livre, » Les jours suffisent à son émerveillement « ,
vendredi 8 Juin et samedi 9 Juin
de 17h30 à 19h.
Dans la joie de notre prochaine rencontre.
Le mercredi 23 mai 2018 de 14h30 à 17h00 – bibliothèque de la Part-Dieu
La bibliothèque municipale de Lyon, s’associe à nouveau avec le Marché de la Poésie, Auvergne Rhône-Alpes Livre et Lecture et l’espace Pandora pour le second opus des états généraux de la poésie organisés en périphérie du 36e marché de la poésie qui se tiendra à Paris du 6 au 10 juin 2018.
LE MERCREDI DU POETE (Bernard Fournier) invite Anne-Lise Blanchard présentée par Béatrice Marchal mercredi 23 mai 2018 de 15h à 18h
Le MERCREDI DU POETE, brasserie Le François-Coppée,
1 boulevard du Montparnasse, (angle du boulevard du Montparnasse avec la rue de Sèvres)
Place Léon-Paul Fargue
75006 Paris
métro Duroc
autobus : 28-39-70-82-87-92
MAPRA, 9 rue Paul Chenavard, Lyon 1, du 19 décembre 2012 au 12 janvier 2013.
Une lecture a lieu le 12 janvier 2013 à 16h
A l’invitation d’eOle, je lirai Codicilles n° 24, dimanche 25 novembre à 16H.
En hommage aux quatre réalisatrices de l’anthologie « Pas d’ici pas d’ailleurs’, à l’éditrice de « Diptyque« , à leur amour à la fois discret et tenace de la poésie et pour le plaisir de la lecture, ces deux ouvrages qui ont retenu ma participation
Le jeudi 26 avril lecture – signature avec Josette Vial à la galerie Jean-Louis Mandon
et le dimanche 25 mars 2012 au salon du livre
Au Carré 30 le 24 janvier 2012
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Anne-Lise Blanchard avec la complicité de Josette Vial, aux éditions Corps Puce,
vous invitent à la dégustation d’automne de
Copeaux des saisons
Dédicaces à la 25e Heure du Livre du Mans,
les 8 et 9 octobre 2011
Quai Louis Blanc – 72000 Le Mans
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Le Dire et L’image
Anne-Lise Blanchard
Lecture à deux voix
Club photo La Gourguillonnaise
Métamorphoses du réel
© Sally Bataillard
Harmonia Mundi
15 juin 2011 à 18 heures
21 rue du Président Herriot Lyon 1er Tel. 04 78 39 08 39
Exposition du 1er au 31 juin 2011
Lundi 13 h-19 h Mardi-Samedi 10 h-19 h
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Anne-Lise Blanchard vit à Lyon. Créatrice et animatrice des Mardis d’Isabelle, soirées littéraires et musicales de 2003 à 2011. Elle fut danseuse, chorégraphe, thérapeute. Elle a écrit une vingtaine de recueils : poésie, récits, prose poétique. Elle collabore à la revue lyonnaise Verso depuis 2002. Publiée dans nombre de revues dont Arpa, Diérèse, Propos2campagne, Bacchanales, Décharge, La Passe, N4728, Thauma. Elle lit et anime des ateliers ici et là pour multiplier le plaisir des rencontres.
Publications :
- Eclats, Eclats d’Encre, 2010
- Un jour après l’autre, Editions Henry, 2009
- Anonyme euphorbe, Carnets du Dessert de Lune(Belgique), 2009
- Le jour se tait, Jacques André éditeur, 2008
- Chanson gelée pour un lé de terre, La Porte 2008
- Apatride vérité, ill. de Vincent Rougier, Rougier V. éditions, 2008
A paraître :
- Copeaux des saisons, Corps Puce, avec Josette Vial, photographe
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Anne-Lise Blanchard prend un coup de soleil
Date : Le vendredi 18 mars 2011
Horaires : 20 h 30
Maison de la Poésie
Passage de la Cathédrale
7400 ANNECY
Anne-Lise Blanchard sera l’invitée de Michel Dunand, de la Revue Coup de Soleil et de la Maison de la Poésie d’Annecy. On y retrouvera ses nombreuses publications, dont Plein espace vite et Le jour se tait. Lecture et musique dans une ambiance choisie.
Samedi 12 mars à 17h, galerie Alter-Art, Grenoble
A l’occasion du printemps des poètes, Alter-Art vous propose de découvrir l’exposition « Codicilles« , fruit d’une collaboration entre l’image et l’écriture réalisée par la plasticienne eOle. Cette exposition présente des lithographies originales de l’artiste, un ensemble de ses photographies réalisées à partir de ces lithographies, ainsi que les livrets des écrivains et poètes de la région Rhône-Alpes ayant participé à cette collaboration (plus de 50 livrets).
Vernissage le jeudi 3 mars à 18h
exposition Du 2 au 26 mars 2011, les mercredi, jeudi, vendredi et samedi de 15h à 19h
Présence de l’artiste le jeudi 3, le samedi 12 et le jeudi 17 mars
Rencontre lecture avec plusieurs auteurs des livrets présentés sont aussi proposées durant cette exposition :
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SOIRÉE POÉSIE : LA PROXIMITÉ DE L’INVISIBLE
« [Les poètes et les écrivains], ces sourciers de l’imaginaire, ont le don de détecter, dans la couche épaisse ou ténue de ce que nous appelons la réalité, des nappes de sens qui ne demandent qu’à jaillir en sources… La grâce des poètes et des écrivains est de nous ouvrir les yeux sur le mystère ».
Dominique Salin,s.j.
Avec :
Anne-Lise BLANCHARD, poète, auteur de : Un silence de lait et de terre, Éd. de l’Atlantique, 2008 et de Le jour se tait, Éd. Jacques André, 2008.
Philippe DELAVEAU, poète, grand prix de poésie de l’Académie française en 2000, auteur entre autres de : Son nom secret d’une musique, Gallimard, 2008, et Le veilleur amoureux précédé d’Eucharis, Gallimard, 2009.
Jean-Pierre LEMAIRE, poète, grand prix de poésie de l’Académie française en 1999, auteur entre autres de : Figure humaine, Gallimard, 2008, et Marcher dans la neige, Bayard, 2008.
Béatrice MARCHAL, poète, professeur agrégée de culture générale en classes préparatoires à Franklin, auteur de : Les chants du silence. Olivier Messiaen, fils de Cécile Sauvage, ou la musique face à l’impossible parole, Delatour, 2008, de : Les écrits d’amour de Cécile Sauvage, Éd. du Cerf, 2009 et de L’épreuve des limites,Éd. de l’Atlantique, 2010.
Tarifs : 9 € la conférence
15 € le cycle de 2 conférences
Entrée libre pour les élèves de Franklin
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Quatrième cabaret poétique
Lieu : Au Périscope (13 rue Delandine, métro Perrache) 69002 LYON
Date/heure : Dimanche 9 janvier 2011 17:00
« [Les poètes et les écrivains], ces sourciers de l’imaginaire, ont le don de détecter, dans la couche épaisse ou ténue de ce que nous appelons la réalité, des nappes de sens qui ne demandent qu’à jaillir en sources… La grâce des poètes et des écrivains est de nous ouvrir les yeux sur le mystère ».
Dominique Salin,s.j.
Avec :
Anne-Lise BLANCHARD, poète, auteur de : Un silence de lait et de terre, Éd. de l’Atlantique, 2008 et de Le jour se tait, Éd. Jacques André, 2008.
Philippe DELAVEAU, poète, grand prix de poésie de l’Académie française en 2000, auteur entre autres de : Son nom secret d’une musique, Gallimard, 2008, et Le veilleur amoureux précédé d’Eucharis, Gallimard, 2009.
Jean-Pierre LEMAIRE, poète, grand prix de poésie de l’Académie française en 1999, auteur entre autres de : Figure humaine, Gallimard, 2008, et Marcher dans la neige, Bayard, 2008.
Béatrice MARCHAL, poète, professeur agrégée de culture générale en classes préparatoires à Franklin, auteur de : Les chants du silence. Olivier Messiaen, fils de Cécile Sauvage, ou la musique face à l’impossible parole, Delatour, 2008, de : Les écrits d’amour de Cécile Sauvage, Éd. du Cerf, 2009 et de L’épreuve des limites,Éd. de l’Atlantique, 2010.
Tarifs : 9 € la conférence
15 € le cycle de 2 conférences
Entrée libre pour les élèves de Franklin
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Quatrième cabaret poétique
Lieu : Au Périscope (13 rue Delandine, métro Perrache) 69002 LYON
Date/heure : Dimanche 9 janvier 2011 17:00
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verso à la salle bourgelat
vendredi 17 décembre 2010
à 19 heures
10, rue Bourgelat Lyon 2ème
(à côté de la mairie)
Muriel Carrupt, Régis,
Alain Wexler & la revue Verso
vous invitent à un spectacle
Danse, poésie et musique :
Pièce Hymne végétal
chorégraphiée et dansée
par Stéphanie Moulin
accompagnement musical
de Cyril Sixdeniers
&
Anne-Lise Blanchard
Geneviève Vidal
liront leurs textes
Verso revue fondée en 1977
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Je serai présente les 11 et 12 décembre 2010 à la Petite Librairie des Champs à Boulbon, en Provence.
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Le vendredi 24 Septembre, à partir de 17h
Château de La Grange des Prés, Route de Montpellier, Pézenas
Voir plus de détail ici : http://www.herault-tribune.com/articles/8322/soiree-lectures-a-la-grange-des-pres-de-pezenas/
Présentation aux Xanthines, café associatif et équitable
verso à la salle bourgelat
vendredi 17 décembre 2010
à 19 heures
10, rue Bourgelat Lyon 2ème
(à côté de la mairie)
Muriel Carrupt, Régis,
Alain Wexler & la revue Verso
vous invitent à un spectacle
Danse, poésie et musique :
Pièce Hymne végétal
chorégraphiée et dansée
par Stéphanie Moulin
accompagnement musical
de Cyril Sixdeniers
&
Anne-Lise Blanchard
Geneviève Vidal
liront leurs textes